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Une trahison française / Analyse - critique


Une trahison française / Analyse - critique


Qu’en est-il véritablement de la religion ? Comment les religions peuvent-elles se payer le luxe de ne pas accepter la confrontation avec la raison humaine ?


Non pas que Waleed-Al-Husseini cherche à contrarier les gens sans nécessité mais, lorsqu’on a été emprisonné, torturé, que l’on a dû s’enfuir de son pays natal en laissant derrière soi sa famille  pour « atteinte à l’islam et à la sûreté de l’Etat » alors que d’autres croupissent, sont exécutés pour les mêmes raisons dans les geôles palestiniennes et dans tout le monde arabe, on est en droit – en toute conscience – de mettre les théologiens devant leurs responsabilités. Et de se demander pourquoi notre république laisse cet « islam de tolérance de paix » (et de sans gêne…) chercher à accomplir non pas la volonté de Dieu, mais sa volonté propre avec le soutien de réseaux crapuleux, meurtriers, qui collaborent à la mort progressive de notre république.
Si en France l’on sait critiquer sa propre civilisation, c’est parce que la liberté d’expression existe, la liberté de critique existe, la réflexion visant à la connaissance de soi existe. En ce qui concerne ces deux derniers éléments – réflexion et connaissance de soi – aucun musulman ne soutiendra qu’ils ne sont pas nécessaires.

Pour le reste, si les juifs ont découverts des vérités et des préceptes sans les propager,  chrétiens et musulmans ont caricaturé le judaïsme à l’extrême… en interdisant toute caricature de leurs propres images. Jusqu’à un certain point en ce qui concerne le christianisme qui, comme nous le rappelle Waleed-Al-Husseini, dès Pie VI a lancé une  « manœuvre laïque d’envergure depuis le Vatican, renforcée à la suite de la révolution française ». L’islam quant à lui ne semble pas avoir trouvé de limite et les dépasse toutes. Ces limites, puisque l’islam se refuse à les entendre, vont donc devoir lui être imposé. Ainsi venir au travail avec son foulard ou en short-cuir-moulant-une-taille-en-dessous est laissé à la libre appréciation de l’employeur, tant il est vrai que fantasmes sexuels et fantasmes religieux se chevauchent allègrement. Et il ferait beau voir que ces nouveaux venus en république y fassent la Loi. Si l’engagement de Waleed-Al-Husseini est total nous ne saurions qu’y répondre par notre engagement total à ses côtés. Au sacrifice des martyrs des uns, répondra le libre sacrifice de nous-mêmes car nous ne pourrons éternellement nous contenter de mots face à la bestialité et l’affreux réel que nous voyons à l’œuvre … et nous sommes donc – en raison direct des monstruosités auxquelles nous assistons – prêts à la collision avec cet islam-là.

Et si la façon doit être terrible, qu’il soit bien entendu que les partisans d’un Dieu de horde, d’un Dieu arabe nommé Allah, ne sont pas sans nous rappeler les partisans d’un Dieu allemand nommé Wotan, son armée de nazis, de membres de la Gestapo, « de bons allemands » de la Wehrmacht, « bons allemands » actifs ou PASSIFS… sans lesquels rien n’aurait été possible.

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Il est nécessaire que quelqu’un s’indigne devant les évènements liés à l’islam et qui se déroulent de façon catastrophique dans de nombreuses familles culturelles, y compris la nôtre. Et il s’agit bien – rendons-nous en compte – de notre humanité, de l’humanité dont nous sommes faits et dont nous sommes chacun une parcelle.
Nous ignorons quels seraient les individus ou nations qui posséderaient une spiritualité telle que tout nouvel apport en deviendrait inutile : un certain islam se réclame de cette spiritualité là… il est grand temps pour cet islam-là de se rapprocher de la terre, en particulier de l’Europe, car si cet islam-là s’attend à être pris au sérieux, nous le déclarons avec vigueur : cet islam-là n’est qu’un gros imbécile.
Ce message ci-dessus de bienvenue dans notre monde d’aujourd’hui est à la hauteur des phrases désagréables dont nous gratifient ceux qui s’attaquent à nos patrimoines et dont chacun d’entre vous possède un certain nombre d’exemples illustratifs, puisés dans son expérience quotidienne. Et les insultes irritent.

Irrité Waleed-Al-Husseini l’est quand il voit Mahmoud Abbas, son tourmenteur, présent au défilé « Je suis Charlie », par calcul électoraliste « alors que, de retour à Ramallah, Abbas allait poursuivre sa politique répressive » contre ceux qui revendiquent « un minimum de liberté » et que « de retour en Cisjordanie, Abbas a fait arrêter un caricaturiste palestinien. »
Le ton est donné et la critique du cœur est un arrêt des plus sévères.
Waleed-Al-Husseini touche dès le départ, de la façon la plus claire, ce qu’il n’a de cesse de développer dans son livre avec pédagogie, mettant en lumière les conceptions de tous ceux qui font preuve d’une absence totale de sens moral.
Que les musulmans soumis se soumettent, que les protestants protestent, soit. Mais en France, le mot « vassal » n’existe plus et cette attitude psychologique résonne comme subjective, arbitraire et vulgaire. En d’autres termes, l’islam tout entier « nous échappe » et nous attendons de lui – a minima – qu’il soit neutre. Notre république est notre patrimoine et aucun viêt-cong, aucun musulman, n’est autorisé à nous ravir ce patrimoine. Et si nous le perdions, qu’est-ce qui le remplacerait ?
L’islam ?! Vous plaisantez ?!

Ce genre d’intrusion politique et spirituelle, nous vous le confirmons, est entachée du danger de déraciner l’Homme et nous nous y opposons, à bon droit. Et que cela fasse ombrage à l’islam n’a pour effet, quant à nous, que de nous enrichir d’un élément de plus dans la connaissance de nous-mêmes, par le rejet de retardataires non-neutres, qui prennent le risque de vouloir jouer en France le rôle d’un centre de gravité.

Mais Waleed-Al-Husseini est un homme instruit qui, pour cette raison, a saisi les nuances et les correspondances de la psyché humaine : tandis  que « le mal gagne du terrain » certains jouent à « la politique de l’autruche », évoluent dans leurs « illusions », leur « foi communautariste » en tant que « citoyen(s) ou croyant(s) » ; certains participent à ce que « la laïcité (soit) menacée » dans une « guerre des terminologies » jouant avec le concept « d’islamophobie » monnayant « la haine contre le pardon » tenant haut « la bannière du racisme » pour une « radicalisation et (une) régression » ; certains visent à une « colonisation graduelle » avec une « islamisation persuasive » dans « l’islam et la république » pour « une France islamisée » dans et sur « le fond et la forme » d’un « Djihad et terrorisme » « vers un islam éclairé et modéré » où la « périlleuse laïcisation » est désormais face au « rejet de la modernité ». Il convient donc de « faire tomber le voile » pour que « la désintégration » due aux « pôles islamiques » de « culture et (d’)endoctrinement » nous amène à certaines « conclusion(s) »

Et vous avez dans le paragraphe ci-dessus, entre guillemets, autant de titres de chapitres qui démontrent le caractère d’unité substantielle de son étude. Et c’est exactement ce qu’exige un travail responsable, si tant est que l’on est convaincu qu’il n’y a de vie que dans la vie individuelle, puisqu’en elle seule réside le sens dernier. Malgré cela, on nous affirme que la Oumma paisse sur de gras pâturages spirituels, Oumma dont les représentants les plus critiquables se refusent à comprendre que ce qu’elle comporte de critiquable fait justement partie intégrante de ses richesses potentielles.
La catastrophe est en cours et le caractère apocalyptique des évènements que nous constatons exige réflexion. Justement là-aussi Waleed-Al-Husseini adopte une attitude relativement calme, modérée, dominant la situation. Extraordinaire quand les représentants de l’islam sunnite ou chiite ont une relation avec le monde qui suppose ce monde en les incluant seulement eux-mêmes… avec passion.
Effort humain, effort moral remarquable quand un problème vous touche de si près…Waleed-Al-Husseini nous fait donc comprendre, une fois de plus, que la froide supériorité d’un certain islam ne lui permet pas de percevoir sa culpabilité collective, étant donné l’existence facilement constatable en lui-même de données irrationnelles. Naturellement les musulmans et leurs collabos se pressent à restreindre la responsabilité aux seuls délinquants de l’islam… alors qu’au contraire celle-ci s’étend, en tant que phénomène psychique, aux êtres et aux choses alentour !


Nous comprenons bien que les musulmans soient blessés par ceux qui déshonorent leur maison… mais comment se fait-il que l’on trouve dans et autour de l’islam autant de traîtres ? Il n’est d’aucun secours aux musulmans de se réclamer les premières victimes du fanatisme. Mes bons amis, si votre religion vous crée des soucis de cette envergure, changez-là, changez-en, mais ne venez pas nous expliquer votre innocence quand en république jaillissent les lourdes nuées de vos fautes ! L’islam a enfanté des monstres et la faute en retombe sur les musulmans, pas sur la république ; mais peut-être n’appartenez-vous pas à celle-ci mais à l’islam et rien qu’à l’islam ? Ou peut-être êtes-vous des ignorants ? N’ajoutez pas de grâce le péché d’inconscience à votre tragique culpabilité collective.
Cette culpabilité collective ne saurait en aucun cas se transformer en culpabilité individuelle et notre république, autant que Waleed-Al-Husseini lui-même, est capable de distinguer le criminel du « coupable collectif ». Mais ce dernier ne sera pas traité en gentleman tant qu’il n’aura pas prouvé qu’il en est digne… et la désorganisation règne quant à la représentation de l’islam en France.

Les arguments sont insuffisants, les explications fallacieuses et si les représentants des musulmans comptent sur le temps pour être pris pour des hommes d’une correction possible, les crimes continuent de sortir du brouillard de la Oumma ; Oumma dont on peut se demander si le crime n’y est pas autant que le voile une mode en vogue. Ce petit « jeu » est risqué : qui allume un feu par ces méthodes provoque son entourage humain qui peut y répondre par le feu. Il en est ainsi, sans quoi le mal dominerait le monde.

Qui sont les musulmans pour nous accuser de quoi que ce soit ? Qui sont ces traitres et psychopathes politiques ? Waleed-Al-Husseini nous le révèle avec un esprit en ordre, loin de l’attitude de défense chronique de l’islam contre toutes accusations : aucune falsification hystérique ne peut venir à bout de la voie de la raison. Se cramponner à des revendications est certes plus facile que d’affronter la réalité, mais l’embellissement systématique de sa religion et l’abaissement de ses compatriotes non-musulmans n’a rien de hasardeux : c’est une stratégie. Un danger social donc.

Jamais les français républicains ne se laisseront prendre à ce petit « jeu » et si les musulmans ont besoin d’aide pour localiser l’ombre qu’ils projettent si bien sur les autres, ils ont un livre à lire : celui de Waleed-Al-Husseini… quant à espérer que nous confirmions les mérites de l’islam, nous ne sommes pas, nous, à vendre. Le courage civique ne s’achète pas.
Réclamer des ménagements pour l’islam est une vision de lâche qui ne fait qu’aggraver la situation. Nous sommes partisans de ne pas nous dérober devant les obstacles : aux musulmans il faut faire l’honneur de leur dire la vérité, comme à des hommes.

Mais bien sûr comme dans l’Allemagne nazie d’après-guerre, on préfère encore, au final, stigmatiser les autres peuples : en fin de compte tout est de la faute des juifs, des sionistes, des ennemis de l’islam. Mais bien sûr les horreurs commises par nos ancêtres sur d’autres peuples sont une excuse à ces cruautés nouvelles que l’islam nous assène ! Ce sont là des discours de possédés… voie sans issue, « pensées » extrêmes et nous n’hésitons pas à le dire : pacte avec le diable.
Puisque l’islam ne gagnera pas, rien ne saurait nous contraindre à croire de tels bobards et l’islam ferait mieux de peser son cœur. Waleed-Al-Husseini lui-même fait confiance aux éléments restés sains en islam et nous tirons de cela les conclusions qui s’imposent : il n’est pas tombé, lui, dans le péché mortel.

Nous l’avons déjà dit, les musulmans ont en France une chance de pouvoir tourner leur regard vers l’intérieur … mais se contentent de postuler sur l’islam idéal en n’étant manifestement pas adaptés aux richesses de notre république. Devons-nous y voir une ancienne avidité de razzia ? Les meurtriers n’agissent qu’en fonction de mobiles suffisants, sans lesquels les crimes ne seraient pas perpétrés. Et si le ciel de l’islam était serein, il n’en sortirait pas de tels crimes.

Le foyer de ces crimes n’est pas invisible pour Waleed-Al-Husseini qui concentre en un seul document un feu d’espérance : un individu, au moins, est parvenu à échapper à un certain arrière-pays spirituel où la tradition vise notoirement à l’accusation des juifs qui, par ailleurs, auraient historiquement imposé le national-socialisme aux allemands…

Alors que des évènements meurtriers s’abattent sur notre nation, nous allons donc, maintenant que ce livre est paru, savoir à quel niveau se situe précisément l’intelligence morale de ceux qui, parmi les musulmans, reconnaissent ce qui se passe, pour enchaîner encore que nos anciens méfaits occidentaux en sont la cause … car la vie n’est pas un livre où les fils morts reviennent à la vie. Nous ne nous réjouissons pas de la situation à en manger le veau gras comme les collabos avec ceux qui se montrent, quelque part entre repentir et monologue, aussitôt suivis d’un appétit de vengeance, comme l’illustre l’affaire du burkini à Nice, quelques semaines après un certain attentat du 14 juillet (ô miracle de synchronicité dans le temps – passe encore – dans l’espace : à Nice ! il ne reste aux musulmans qu’à se tirer eux-mêmes par les cheveux pour se sortir de ce marécage dans lequel ils se sont mis), comme l’illustre aussi le développement de la notion d’islamophobie dans un incroyable mépris autistique d’autrui.

 Vouloir laisser une impression d’innocence et en un tournemain se défendre par des attaques n’a aucune valeur, ni intellectuellement, ni moralement : il ne s’agit là que d’une démonstration d’infériorité psychopathique.

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En conclusion, l’horizon que nous ouvre Waleed-Al-Husseini est sans restriction mentale, « Une trahison française » est LE livre qui montre ce que signifie être un homme en pleine possession de ses qualités humaines.
Nous sommes convaincus que ce livre, que vous devez impérativement lire, est capable de régénérer l’œuvre du monde réellement civilisé et qu’« Une trahison française » est LE livre que la France entière est destinée à approuver et soutenir. Mais notre sécurité est pour le moment loin d’être entière et notre gouvernement, nos médias, ne sont pas composés de patriotes. Le document que nous propose Waleed-Al-Husseini est pourtant un véritable décret de mobilisation : l’heure est venue de se tenir debout et l’esprit protecteur de notre patrie a pour nom Waleed-Al-Husseini.

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