Il y relate avant tout son aventure douloureuse de blasphémateur retenu et torturé dans une des multiples prisons d’Allah, régie par l’Autorité palestinienne. Une Autorité soi-
disant laïque et démocratique dont le président Mahmoud Abbas, comme tant d’autres officiels musulmans, se paie nos têtes lorsqu’il défile le 11 janvier à Paris. Toutes les souffrances physiques qui furent infligées à Waleed Al-Husseini, les privations de liberté qu’il dut supporter, le rejet des masses populaires qu’il affronta…, tout démontre que là où l’islam est majoritaire, il finit par régir toute politique ainsi que les mentalités, aussi bien de ceux qui sont au pouvoir que celles du commun des mortels, dans la rue ; à Gaza tout autant que sur le bord du Jourdain, côté palestinien. Quant aux menaces et fatwas qui le visaient, elles provenaient de bien des pays arabophones : Egypte, Qatar, Arabie… C’est dire qu’il n’était pas nécessaire d’attendre l’émergence de Daech ou de l’EI (Etat Islamique) pour que l’épée des différents états et combattants islamiques s’étende au-delà des frontières et menace aussi bien Salman Rushdie, Robert Redeker, les caricaturistes danois, Charlie Hebdo et … notre blasphémateur, Waleed Al-Husseini.
disant laïque et démocratique dont le président Mahmoud Abbas, comme tant d’autres officiels musulmans, se paie nos têtes lorsqu’il défile le 11 janvier à Paris. Toutes les souffrances physiques qui furent infligées à Waleed Al-Husseini, les privations de liberté qu’il dut supporter, le rejet des masses populaires qu’il affronta…, tout démontre que là où l’islam est majoritaire, il finit par régir toute politique ainsi que les mentalités, aussi bien de ceux qui sont au pouvoir que celles du commun des mortels, dans la rue ; à Gaza tout autant que sur le bord du Jourdain, côté palestinien. Quant aux menaces et fatwas qui le visaient, elles provenaient de bien des pays arabophones : Egypte, Qatar, Arabie… C’est dire qu’il n’était pas nécessaire d’attendre l’émergence de Daech ou de l’EI (Etat Islamique) pour que l’épée des différents états et combattants islamiques s’étende au-delà des frontières et menace aussi bien Salman Rushdie, Robert Redeker, les caricaturistes danois, Charlie Hebdo et … notre blasphémateur, Waleed Al-Husseini.
L’aventure de M. Al-Husseini relate celle d’une génération arabe qui a goûté au nouvel espace de liberté qu’est internet et qui n’est pas prête d’y renoncer. C’est bien cet espace planétaire qui a permis à notre jeune étudiant, puis professeur, de trouver réponse aux questions existentielles qui le taraudaient depuis le lycée. Les réponses des imams dans les mosquées qu’il fréquentait ne le satisfaisaient pas. Et c’est ainsi qu’il a pu se forger une tout autre conviction en découvrant que la religion était pleine d’illusions et de contradictions. Les blogs qu’il avaient créés et les discussions qu’il a su susciter et puis animer lui ont prouvé que le sujet (la religion islamique et la religion tout court) était sensible et intéressait énormément de musulmans ou d’ex-musulmans ; les uns parce qu’ils redoutaient la mise à nu de leurs fragiles croyances, les autres parce qu’ils aspiraient à une libération tant attendue des dogmes et pratiques sociales islamiques qui handicapent toujours leurs sociétés.
Le succès que les publications sur internet de notre auteur ont enregistré ne pouvait qu’inquiéter les multiples inquisiteurs répartis sur les différents territoires régis par l’islam. Ceci d’autant plus qu’il avait l’humour, l’outre-cuidance même, de créer une page nommée « Je suis Allah ! ». Elle n’a pas manqué de susciter le courroux généralisé et faire l’unanimité des muftis contre elle. S’il y a donc une chose qui rend fous de rage les porte-paroles des musulmans c’est bien l’incarnation. Il ne peuvent voir en peinture, ni en caricature d’ailleurs, un Allah si ressemblant aux êtres humains, exactement avec leurs défauts et surtout avec une pointe d’humour qui les agace au plus haut point. Décidément, cette spiritualité qui nous fait rigoler ne passe pas auprès de tout le monde !
Après lecture de cette auto-biographie, on ne peut que remercier toutes les personnes, dont Mme Michèle Alliot-Marie, et les institutions françaises qui ont aidé Waleed Al-Husseini à échapper aux griffes de l’Autorité palestinienne, ainsi que celles et ceux qui ont contribué au lancement du CEMF.
D’autres personnes traduisent aujourd’hui ses excellents textes que même le quotidien Le Monde publie, tout en essayant de dénaturer les vérités énoncées par Waleed Al-Husseini. En effet, le titre choisi par la rédaction : « Le Coran est un texte à repenser« , ne se décide surtout pas à jeter cette eau sale dans laquelle pataugent tous les musulmans depuis la nuit des temps.
Mais ne boudons pas notre plaisir de voir que tout le monde (Le Monde) peut enfin entendre cette parole authentique qui explique tout simplement que le problème c’est l’islam et que l’islamisme n’est qu’un contre-feu, allumé par des idiots utiles qui continuent de faire diversion afin que le cœur du réacteur (Coran + Mahomet) ne soit pas atteint.
Bonne lecture à tous les amoureux de la Liberté et des simples vérités qu’ose énoncer ce « Blasphémateur ! »
Pascal Hilout, ex-Mohamed :))
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